vendredi 3 mars 2017

Les livres qui ont rejoint ma bibliothèque en Mars 2017 (achats)


Joséphine tome 2: même pas mal de Pénélope Bagieu, Editions Delcourt,

Résumé:
Joséphine a "la trentaine", comme elle dit pudiquement. Elle n'est pas mariée, n'a pas d'enfant, mais elle a un chat. Elle est blonde et menue, mais s'épaissit sensiblement au niveau des hanches. Elle travaille dans un bureau, avec plein de gens qui ne connaissent pas son nom, et un macho abject dont elle ne parvient pas à clouer le bec. Elle a aussi une soeur qui est mariée, et a des enfants blonds, souriants et polis plein sa grande maison. Elle a des parents qui n'habitent pas la même ville mais qui réussissent à l'envahir et à la culpabiliser par téléphone. Elle a des copines mais aucune n'arrive à la cheville de Rose, sa meilleure amie, solidaire de ses misères quotidiennes. Elle est terriblement fleur bleue et ne désespère pas de rencontrer l'homme idéal, ce à quoi elle s'emploie activement (bars, salles de gym, clubs d'oenologie, Meetic...). En attendant, elle pleure devant les films à l'eau de rose. Joséphine a des tas de malheurs dont elle est bien souvent à l'origine : elle est maladroite, ne gère pas très bien ses relations professionnelles, peine à se faire entendre, fait des gaffes assez embarrassantes, et enchaîne les faux-pas dans sa vie amoureuse. Elle est en quelque sorte l'artisan de son propre malheur, mais veille à ne surtout jamais tirer de leçons de ce qui lui tombe dessus.


Joséphine tome 3: change de camp de Pénélope Bagieu, Editions Delcourt.

Résumé:
Joséphine a "la trentaine", comme elle dit pudiquement. Elle n'est pas mariée, n'a pas d'enfant, mais elle a un chat. Elle est blonde et menue, mais s'épaissit sensiblement au niveau des hanches. Elle travaille dans un bureau, avec plein de gens qui ne connaissent pas son nom, et un macho abject dont elle ne parvient pas à clouer le bec. Elle a aussi une soeur qui est mariée, et a des enfants blonds, souriants et polis plein sa grande maison. Elle a des parents qui n'habitent pas la même ville mais qui réussissent à l'envahir et à la culpabiliser par téléphone. Elle a des copines mais aucune n'arrive à la cheville de Rose, sa meilleure amie, solidaire de ses misères quotidiennes. Elle est terriblement fleur bleue et ne désespère pas de rencontrer l'homme idéal, ce à quoi elle s'emploie activement (bars, salles de gym, clubs d'oenologie, Meetic...). En attendant, elle pleure devant les films à l'eau de rose. Joséphine a des tas de malheurs dont elle est bien souvent à l'origine : elle est maladroite, ne gère pas très bien ses relations professionnelles, peine à se faire entendre, fait des gaffes assez embarrassantes, et enchaîne les faux-pas dans sa vie amoureuse. Elle est en quelque sorte l'artisan de son propre malheur, mais veille à ne surtout jamais tirer de leçons de ce qui lui tombe dessus.


1 rue des petits-pas de Nathalie Hug, Editions Le Livre de Poche, 402 pages.

Résumé:
Lorraine, hiver 1918-1919. Dans un village en ruines à quelques kilomètres du front, une communauté de rescapés s’organise pour que la vie continue. Louise, seize ans, est recueillie au 1, rue des Petits-Pas par une sage-femme qui va lui transmettre son savoir : accoucher, bien sûr, mais aussi lire et écrire, soigner les maux courants et, enfin, être l’oreille attentive de toutes les confidences. Mais dans ce village ravagé par la guerre et isolé du monde, les légendes nourrissent les peurs, et la haine tient les hommes debout. Ces peurs et cette haine, Louise va devoir les affronter car elle exerce son art dans l’illégalité, élève un enfant qui n’est pas le sien, aime un être qu’elle n’a pas le droit d’aimer, et tente de se reconstruire dans cet univers où horreur et malveillance rivalisent avec solidarité et espoir.


J'ai pas pleuré de Ida Grinspan, Editions Pocket Jeunesse, 180 pages.

Résumé:

Déportée à 14 ans, rescapée d'Auschwitz, Ida Grinspan nous livre son témoignage sur l'horreur des camps de concentration. Dans un dialogue tout en pudeur, sa voix se mêle à celle de Bertrand Poirot-Delpech. Elle lui raconte l'indicible : la faim, la peur, la mort qui rôde. Ensemble, ils relatent également les difficultés de " l'après ", ce douloureux retour à la vie et à l'espoir. A lire pour ne pas oublier " l'oubli serait aussi intolérable que les faits eux-mêmes ".



Esprit d'hiver de Laura Kasischke, Editions Le Livre de Poche, 302 pages.

Résumé:
Réveillée tard le matin de Noël, Holly se voit assaillie par un sentiment d'angoisse inexplicable. Rien n'est plus comme avant. Le blizzards s'est levé, les invités se décommandent pour le déjeuner traditionnel. Holly se retrouve seule avec sa fille Tatiana, habituellement affectueuse, mais dont le comportement se révèle de plus en plus étrange et inquiétant...



Maintenant qu'il fait tout le temps nuit sur toi de Mathias Malzieu, Editions J'ai Lu, 151 pages.

Résumé:
" Comment on va faire maintenant qu'il fait tout le temps nuit sur toi ? Qu'est-ce que ça veut dire la vie sans toi ? Qu'est-ce qui se passe pour toi là ? Du rien? Du vide ? De la nuit, des choses de ciel, du réconfort ? " Mathias, une trentaine d'années mais une âme d'enfant, vient de perdre sa mère. Sans le géant qu'il rencontre sur le parking de l'hôpital, que serait-il devenu ? Giant Jack, 4,50 m, " docteur en ombrologie ", soigne les gens atteints de deuil. Il donne à son protégé une ombre, des livres, la capacité de vivre encore et rêver malgré la douleur... Il le fera grandir.


Les ferrailleurs, tome 1: Le château de Edward Carey, Ediitons Le Livre de Poche, 471 pages.

Résumé:
Au milieu d’un océan de détritus composé de tous les rebuts de Londres se dresse la demeure des Ferrayor. Le Château, assemblage hétéroclite d’objets trouvés et de bouts d’immeubles prélevés à la capitale, abrite cette étrange famille depuis des générations. Selon la tradition, chacun de ses membres, à la naissance, se voit attribuer un objet particulier, dont il devra prendre soin toute sa vie. Clod, notre jeune héros, a ainsi reçu une bonde universelle – et, pour son malheur, un don singulier : il est capable d’entendre parler les objets, qui ne cessent de répéter des noms mystérieux… Tout commence le jour où la poignée de porte appartenant à Tante Rosamud disparaît ; les murmures des objets se font de plus en plus insistants ; dehors, une terrible tempête menace ; et voici qu’une jeune orpheline se présente à la porte du Château…


Ta façon d'être au monde de Camille Anseaume, Editions Pocket, 166 pages.

Résumé:
Elles sont amies d’enfance. L’une est inquiète, rêveuse, introvertie ; l’autre est souriante, joyeuse, lumineuse. Ensemble, elles grandissent, découvrent la vie, l’amour. Jusqu’à ce qu’un drame bouleverse le monde qu’elles se sont bâti... Un roman poignant sur l’amitié, le deuil, et sur ce point de bascule irréversible qui sonne la fin de l’insouciance.



Le jour où le bus est reparti sans elle de Beka, Marco et Maëla Cosson, Editions Bamboo, 70 pages.

Résumé:
Le jour où le bus est reparti sans elle, Clémentine se retrouve coincée dans une singulière épicerie de campagne, loin de tout… mais jamais aussi près de trouver ce qu’elle cherche : des réponses à ses doutes existentiels. Les histoires zen d’Antoine, l’incroyable épicier, l’expérience de Chantal l’écrivain, le passage de Thomas le PDG-randonneur, vont irrémédiablement changer la vision de la vie qu’avait Clémentine. Comme chacun de ces personnages, la jeune femme va essayer de trouver son chemin vers le bonheur. Même si, comme tous les chemins, il emprunte parfois d’étranges détours…



Une fille dans le noir de Anna Lyndsey, Editions Nil, 266 pages.

Résumé:
Dans ma boîte, je n'ai pas d'impact sur le monde, qui suit sa route comme si je n'y vivais pas. Les gens passent devant la maison silencieuse et fermée et, s'ils y pensent, concluent probablement qu'elle est inhabitée. Et qu'y a-t-il dedans ? Une créature qui se tapit, rampe, se morfond et erre parfois d'une pièce à l'autre, fuyant, terrorisée, la porte d'entrée ouverte et accueillante et les lumières allumées. Dans la veine du Scaphandre et le Papillon, le témoignage bouleversant d'une jeune femme prisonnière du noir. Londres, 2005. Anna est jeune, ambitieuse et amoureuse. Mais depuis quelques semaines, la peau de son visage semble réagir à la lumière de son écran d'ordinateur. Puis à celle du soleil. Ces sensations de brûlure, de plus en plus intenses, s'étendent bientôt sur tout son corps. Le verdict tombe : Anna est atteinte d'une sévère hypersensibilité à la lumière. Comment vivre sans lumière ? Que faire de ses journées quand on est reclus dans l'obscurité ? Anna Lyndsey livre le journal d'une vie hors du commun, hors du monde.




Le train des orphelins de Christina Baker Kline, Editions Belfond, 336 pages.

Résumé:
Pour son premier roman publié en France, Christina Baker Kline revisite une page méconnue de l'histoire des États-Unis, les trains d'orphelins envoyés vers l'Ouest pour servir de main-d'oeuvre gratuite. En 1929, la petite Vivian, 7 ans, récemment arrivée d'Irlande, embarque dans l'un d'entre eux sans savoir qu'elle va vivre un bien cruel voyage et être quasiment réduite en esclavage... De nos jours, elle dévoile enfin son passé à Mollie, une orpheline indienne de 17 ans. Lumineux !


La femme du gardien du zoo de Diane Ackerman, Editions L'Archipel, 298 pages.

Résumé:
Jan et Antonina Zabinski dirigent le zoo de Varsovie quand éclate la Seconde Guerre mondiale. La Pologne est envahie et bientôt règne la barbarie. Les animaux ont été tués sous les bombardements, envoyés à Berlin ou ont servi de gibier aux officiers allemands. Jan et Antonina se mettent alors à élever des porcs – officiellement pour les troupes, officieusement pour nourrir les habitants du ghetto. Surtout, ils profitent d’un réseau de souterrains reliant les cages pour y cacher des juifs et les faire quitter le pays… Grâce au courage de ce couple, trois cents d’entre eux seront sauvés. Inspiré du journal intime d’Antonina Zabinski, ce récit retrace le combat d’un couple soucieux de la cause animale qui s’engage dans une lutte secrète contre l’oppression nazie. Un très beau portrait de femme, où l’abnégation et la générosité côtoient la cruauté et l’horreur.


Une chanson pour Ada de Barbara Mutch, Editions Pocket, 508 pages.

Résumé:
Ada naît dans les années 1930 à Cradock House, demeure de la famille Harrington. Fille illégitime de la domestique noire, elle grandit aux côtés des deux enfants du couple. Elle ne va pas à l'école, mais Cathleen Harrington, la maîtresse de maison, lui apprend à lire. Remarquant son intérêt pour la musique, cette dernière entreprend de lui enseigner le piano, en dépit des réserves de son entourage. Ada a beau s'avérer une élève assidue et une pianiste très douée, ses perspectives d'avenir semblent cependant bien limitées dans un pays où la situation entre Blancs et Noirs se durcit de plus en plus. L'année de ses dix-huit ans, alors que la politique de l'apartheid est mise en place sur l'ensemble du territoire, Ada est violée par Mr Harrington. Enceinte, elle se réfugie chez sa tante, dans un township. Son talent pour la musique et l'amitié qu'elle partage avec Mrs Harrington vont se révéler ses meilleurs alliés dans un monde où, mère d'une enfant métisse, elle n'a nulle part sa place.


Joséphine tome 1 de Pénélope Bagieu, Editions Jean-Claude Gawsewitch, 60 pages.

Résumé:
Joséphine a "la trentaine", comme elle dit pudiquement. Elle n'est pas mariée, n'a pas d'enfant, mais elle a un chat. Elle est blonde et menue, mais s'épaissit sensiblement au niveau des hanches. Elle travaille dans un bureau, avec plein de gens qui ne connaissent pas son nom, et un macho abject dont elle ne parvient pas à clouer le bec. Elle a aussi une soeur qui est mariée, et a des enfants blonds, souriants et polis plein sa grande maison. Elle a des parents qui n'habitent pas la même ville mais qui réussissent à l'envahir et à la culpabiliser par téléphone. Elle a des copines mais aucune n'arrive à la cheville de Rose, sa meilleure amie, solidaire de ses misères quotidiennes. Elle est terriblement fleur bleue et ne désespère pas de rencontrer l'homme idéal, ce à quoi elle s'emploie activement (bars, salles de gym, clubs d'oenologie, Meetic...). En attendant, elle pleure devant les films à l'eau de rose. Joséphine a des tas de malheurs dont elle est bien souvent à l'origine : elle est maladroite, ne gère pas très bien ses relations professionnelles, peine à se faire entendre, fait des gaffes assez embarrassantes, et enchaîne les faux-pas dans sa vie amoureuse. Elle est en quelque sorte l'artisan de son propre malheur, mais veille à ne surtout jamais tirer de leçons de ce qui lui tombe dessus.



Le portrait de l'oubli de Laura Madeleine, Editions City, 315 pages.

Résumé:

Paris, 1900. Guillaume, se fait embaucher dans une célèbre pâtisserie du quartier de l’Opéra. Là, il découvre un fascinant monde de douceurs. Ce ne sont pas seulement les crèmes légères et les caramels dorés qui le fascinent, c’est surtout Jeanne, la fille du patron, dont il tombe éperdument amoureux… Un amour qui semble impossible à cause des différences sociales et que le père de Jeanne a bien l’intention de faire échouer. Quatre-vingts ans plus tard, une jeune femme, Petra, découvre une photographie de son grand-père entouré de deux inconnus. Un cliché pris à Paris au début du XXe siècle avec, griffonnés au dos, ces mots : « Pardonne-moi ». Incapable de résister au mystère, elle décide de lever le voile sur l’obscure histoire de sa famille et le secret d’une terrible trahison… Des amants maudits. Une trahison qui bouleverse des générations.


Maybe someday de Colleen Hoover, Editions Pocket, 476 pages.

Résumé:
À 22 ans, Sydney a tout pour être heureuse : des études passionnantes, le mec parfait, Hunter, et un superbe appartement en coloc avec sa meilleure amie Tori. Jusqu'au jour où elle apprend que ces deux êtres qui lui sont le plus chers lui cachent un secret impardonnable... Sydney décide alors de tout plaquer. Elle se rapproche de plus en plus de Ridge, son mystérieux voisin. Elle vibre lorsqu'il lui joue ses magnifiques mélodies à la guitare sur son balcon. Mais chacun a ses secrets, et Sydney va découvrir ceux de Ridge à ses dépens. Ensemble, ils vont comprendre que les sentiments qu'ils partagent ne leur laissent pas le choix dans leurs décisions.



Les portraits de Joséphine, Editions Pocket, 507 pages.

Résumé:
Virginie, 1848. Joséphine, 17 ans, souhaite échapper à l'emprise du propriétaire de la plantation Bell Creek dont elle est l'esclave depuis l'enfance. Ne pouvant plus compter sur la protection de Lu Anne Bell, sa maîtresse artiste-peintre qui se meurt, elle s'enfuit dans l'espoir d'offrir un meilleur sort à l'enfant qu'elle porte. New York, 2004. Lina Sparrow, avocate, se voit attribuer un dossier d'envergure lié aux droits des descendants d'esclaves. Le hasard la place sur le chemin de Joséphine, que les experts soupçonnent d'être la véritable artiste à l'origine des tableaux signés Lu Anne Bell. Convaincue d'avoir trouvé le cas parfait pour illustrer la cause qu'elle défend, Lina entreprend de retracer l'histoire de Joséphine et de son fils. Au fil de ses recherches, elle en vient à se questionner sur sa propre famille: pourquoi tant de mystère autour de la mort de sa mère? En plongeant dans le passé d'une esclave en fuite, Lina pourrait bien finir par se découvrir elle-même…


Rien de grave de Justine Lévy, Editions Le Livre de Poche, 221 pages. 

Résumé:
" Tu t'attendais à quoi ? je lui ai dit. Tu crois que ça va être facile de me quitter ? Tu crois que je vais te laisser faire comme ça ? J'ai lancé le cadre par terre, le verre s'est brisé mais comme c'était pas assez j'ai bondi du lit et j'ai déchiré la photo, celle qu'il prétendait tant aimer, la photo de nous deux en mariés, beaux et légèrement ridicules, il y avait tant de monde qu'on ne connaissait pas à notre mariage qu'on est partis avant la fin. Il a eu l'air triste, plus de la photo déchirée que du fait de me quitter. Il a toujours été fou avec les photos. Parfois je me disais qu'il n'aimait les choses de la vie que pour les voir un jour en photo. Moi c'est le contraire, rien ne me fait plus peur qu'une photo de bonheur avec toute la quantité de malheur qu'elle promet, qu'elle contient, mais sans le dire, en cachant bien son jeu. Je ne savais pas encore que c'était la meilleure chose qui puisse m'arriver, qu'il me quitte. Comment j'aurais pu le savoir ? Il était toute ma vie, sans lui je n'existais pas.


La mélodie du passé de Hans Meyer zu Düttingdorf, Editions Pocket, 506 pages.

Résumé:
En vidant l'appartement de sa mère qui vient de mourir, Christina, une jeune journaliste berlinoise, trouve une vieille carte postale représentant un groupe de joueurs de tango, sur le dos de laquelle est écrit : " Le bandonéon est toute ma vie, E. " Intriguée par le mystérieux message, Christina décide de fouiller le passé de sa mère et apprend que celle-ci n'était pas celle qu'elle croyait. À la recherche de ses véritables origines, la journaliste part pour l'Argentine. Sur cet autre continent, elle découvre un pays merveilleux, mais surtout l'histoire de son arrière-grand-mère Emma, une jeune femme audacieuse qui a quitté son Allemagne natale dans les années vingt pour trouver le bonheur auprès de Juan, un riche exportateur argentin ambitieux épousé dans la précipitation. Le destin d'Emma sera bouleversé par sa rencontre avec un joueur de bandonéon qui exerce sur elle une fascination irrésistible.


Rendez-vous de Judith Krantz , Editions Archi Poche, 764 pages.

Résumé:
A Dijon, en 1913, Eve est celle par qui le scandale arrive. Rompant avec sa famille, bafouant les principes bourgeois, elle s'enfuit avec un artiste de music-hall. Ses filles hériteront de son intrépidité. Freddie, un peu garçonne, se passionne pour l'aviation et devient l'une des premières femmes pilotes acrobatiques. Delphine, comédienne, partage sa vie entre le regard des caméras et celui des hommes qu'elle fascine. De Los Angeles aux vignobles champenois, du théâtre aux armées de la Grande Guerre aux studios de cinéma dans Paris occupé, des salles de bal de l'Angleterre aux terrains d'aviation de la R.A.F., ces trois femmes sont allées au-devant de leur époque. Une fresque des années folles et des années noires, par l'auteur de L'Amour en héritage et de A nous deux, Manhattan.

4 commentaires:

  1. Oh les jolies acquisitions! Les portraits de Joséphine a l'air vraiment sympa, sinon je n'avais pas trop aimé Rien de grave mais beaucoup ont apprécié donc j'espère que tu passeras un bon moment :) Bonnes lectures!

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    1. Coucou, ha mince pour Rien de grave, j'espère aimer alors.:-)

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  2. Je n'ai lu que maybe someday et j'avais adoré, malgré le fait que je lis très peu de romance, celle ci m'a embarqué !! Colleen Hoover quoi ! :D

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    1. Oui je crois que ce roman fait l'unanimité! Je n'ai lu que la trilogie qu'elle a écrit avec Tarryn Fisher et j'ai moyennement aimé alors on verra avec celui-là :-)

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